25 tant plus bridé por unu domination de classo, elle iraun zugmontant. Il on suivr que la philosophie de la nature devra partir des forces intérieures l oeuvre dans la naturo ullemême, mais égalomont pernottro ot la domination ct organisation de la naturo par homo. cette don inction ot cotto orgarisation résultoront une cpplication ct uno compréhension toujours plus pousséu au fur út mosuro que los forces productrices un généml ct les scioncos on particulior progressoront.
VII.
LES MATHEMATIQUES OUTILS DE ESPRIT HUMAIN.
Ilscrible que les conccptions nodomos dus sciences de la naturo, qui attribuent pux lois naturellos une validité relative, soiünt un gros on accord avuc lus concuption de le philosophio do Moch. Cütto affimation exigo uns étudo plus approfondiu.
Nous avons quo Mach prond comre baso do départ pour ses ruch rchus le monde dus sunsations. Tout ce qui cst extéricur ce condo ust pour lui pure hypothèsu ut domouro inconnaissable. est 2010 du cittu conception quo Mach so mit pourfordro los atodistus du XIXomo sièclo, lorsqu ils affirtaiont pouvoir zoliquer tous lös phénomènes possiblus on partant de hypothèse quo untièru üst composéu do potits corpusculos indivisiblus. lus ctorios.
De nos jours on coproni mal cotte ittaque de lach contre théoriu sto icu, üt nous somos facilument onclins Stro injusto. son égard, parce que oxistence dos atores est établiu sans aucun dout possible. En cel? nous attaquons tord pro que nous ne nous on pr nons pas au sons profond do sa critique mais soulinunt un espect particulier, En fait inch a jamais nié les énormes succès ropostes par 12 physique ato a que dans sa description de nombre de phénomènus. Sculumunt il sc rofusait les copiilor cxplication. Sens doutu 12 physique stonique pout roliur ontro oux un grand nombre do phénomènüs it un curtain point de vue ollu obéit cux exiSuncos de écono ic do ponséo. mais, toujours selon Mach, Cul: no démontre pas existüncc réollü dos atones. En effutal nido cu concupt di Diou on peut unifior ot öxpliquor dos phénomenus, mais est co quo culo prouvo cxistünce de Dieu. hus puuplos primitifs croiint en dis üsprits auxquils ils rapportunt los revos, lo mort, lus forcos insurmontablos ot inconnaissablus.
Cü déno im tüur commun cuttu croyance on dos esprits ost cussi uno sortu éconocio de la pensée mais existenco des esprits en est pas pour autant rollo. Mach voyoit dans physiquü 2toniquo, riun do plus mais rion do moins qu uno hypothèse du travail, maniable, un rtificu pour unifior dus phénomènus mais sans lüur conférür uno cxistinco réullo. Il affirmpit momo quo ottu hypothèso offrimit uncomu plus do possibilités si on voulait bien runoncer fairu du ces représuntations une réalité, si on voulait bien no les considérer que comme des rtificos. ainsi homme on satisforit qui mičux aux cxigunces de éconorio do ponséc. Lorsquo Van Hoff créa la stéréochimio, il put oxpliquur les propriétés du toutw sortos do substancos riör que per dus lignenonts dans usu dus atomes qui cos