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21.
Assurément, Ruhlc ne doutait pas que lo totalitarisme était pire pour les ouvriers que la démocratie bourgocisc. Il avait lutté contre le totalitarisme russe depuis son commencement. Il luttait contre le fascisme allemant, mais il ne pouvait pas lutter au nom de la démocratie bourgeoise, parce qu il savait que les lois particulières de développement de la production capitaliste transformeraicnt tôt ou tard la démocratie bourgeoise en fascisme et en capitalisme Etat Combattre le totalitarisme revenait s opposer au capitalisme sous toutes ses formes. Le Capitalisme privé. a il écrit, ct avec lui la démocratic qui est en train essayer de le sauver, sont désuets et suivent le chemin de toutes les choses mortelles. Le Capitalisme Etat et avec lui le fascisme qui lui prépare les voies sont en train de grandir et de emparer du pouvoir.
Le vieux a dispar pour toujours et aucun exorcisme agit contre le nouveau.
Quelle que soit âpreté des tentatives que nous puissions faire pour ressusciter la démocratic, tous les efforts seront sans effet. Tous les espoirs une victoire de la démocratie sur le fascisme sont les illusions les plus grossières, toute croyance dans le retour de la démocratic comme forme de gouvernement capitaliste a que la valeur une trahison adroite et une lâche auto duperie. est le malheur du prolótariat que ses organisations périmées basées sur une tactique opportuniste le mettent hors état de se défendre contre assaut du fascisme. Il a ainsi perdu sa propre position politique dans le corps politique au wament présent. Il a cessé être un facteur qui fait histoire l époque présente. Il a été balayé sur le tas de fumier de histoire et pourrira dans le camp de la démocratie aussi bien que dans celui du fascisme, car la démocratie aujourd hui sera le fascisme de demain.
Quoique Ruhle fit face la deuxième guerre mondiale de façon aussi intransigeante qu il avait fait face la première, son attitude l égard du mouvement ouvrier fut différente de celle de 1914. Cette fois, il ne pouvait empêcher être certain qu aucune espérance ne pouvait naître des misérables débris du vieux mouvement ouvrier dans les nations démocratiques encore pour le soulèvement final du prolétariat et sa délivrance historique. Encore moins espérance pouvait elle naitre des fragments minables de ces traditions de parti qui étaient dispersés et éparpillés dans émigration mondiale, ni des notions stéréotypées des révolutions passées, indépendamment du fait que on croit aux bienfaits de la violence ou bien une transition pacifique. Il ne regardait pas cependant sans espoir vers avenir. Il était sûr que de nouvelles forces et de nouvelles impulsions animeraient les masses et les contraindraient faire leur propre histoire.
Les raisons de rette confiance étaient les mêmes que celles qui convainquaient Ruhle du caractère inévitable du développenent capitalisme vers le fascisme et le capitalisme Etat. Elles se basaient sur les contradictions insolubles inhérentes au système capitaliste de production. Tout comme la réorganisation du capital pendant la crise est en même temps la préparation des crises plus profondes, de même la guerre ne peut eng endrer que des guerres plus larges et plus dévastatrices. anarchie capitaliste ne peut devenir que plus chaotique, sans égard toutes les tentatives de ses défenseurs pour mettre de ordre dans son sein. Des parties toujours plus grandes du monde capitaliste seront détruites de sorte que les groupes capitalistes les plus forts continuent accumulation. La misère des masses mondiales ira en augmentant jusqu ce que soit atteint un point de rupture et alors des soulèvements sociaux détruiront le système meurtrier de la production capitaliste.
Ruhle était aussi peu capable que tout autre ce moment là de déterminer par quels moyens spécifiques le fascisme serait vaincu. Mais il était certain que les mécanismes et la dynamique de la révolution subiraient des changements fondamentaux. Dans auto expropriation et la prolétarisation de la bour