Les découvurtos sciuntifques sont donc unornèmont stirul us par les applications militaires, mais sinultanèmont, la scionce ist monopolis o per Etat. Le pronior y éconènö cxplique pourquoi 12 plupart os savants moltont luurs forces cux servicus de aéu, tout simplut pareo que, si pour la plupart des hommes la guerre ist synoninc do destruction, ulli ust un stiaulant pour le sciunes ct pour 10 dévol ppement un génér:1.
Dans lo capitalis üle seiunco profitü du la guerre. Tolla est brutalo vérita, Lo guerrütmnsforma la sciuncu on monopole Etat et collo ci intr véo dans sa liberté dovr se développer dans une direction bien déturainéu, on complèto contradiction cvic lus besoins do humanité. Si los savants pouvaient abstmire de leur point de vue borné de savants, ils vou1ziont, ou plutôt ils pouvoiunt, se considèrur comme des siaplus survitours de humanité, ils devraient avoir la guerr on horreur. ils refusuroiont de mettre leurs forcus cu somice de la dustruction.
Lu problemy zlun sorit pas pour autant résolu. Comme nous avons montré, lus réalisations ilitoires ont servi los aspects lus plus pacifiques dus sciencos. Do er ou de force, le chorchour rüsture souris cx ipératifs dos applications militaires üt ce aussi longtemps quw scintiinara la société copitolisto. est pourquoi il xisto qu uno solution. oxpropriation de onsouble de apparuil do products. 2, est diro y compris la sciunce par lu proiét:riat et leur misu au surrico dus intèrots de ensemblo üe humanité.
VI LES LOIS DE LA NATURS UT LA DO INATION DE LA NATURE.
Jusqu au XIXe sièclu lös savants voulaicnt connaitre los lois de la naturo leur dominùr cello ci. Clost pout êtro parce que homme ne connaissait qu insuffisament cus lois, voire pas du tout, qu il ne lottait pas un doute leur cxistence. Les phénomènes étant déterminés par dus causes, cela entrainait llcxistenco de lois absolues. Lu out dus scioncos était quo do découvrir ces ibis, ot cwitto découverte faito, homme savait tout ce qu il voulait savoir.
Cette conception ost surtout propre au matèrial smo bourgoois. Pour co matèrielismo lionsunblo de la natur: dont homine utja ociété ni sont qu un partie ust uno gigantusque machine. il faut en découvrir ju fonctio ncment. Les lois maturolles ülient tout selon un étonninisme strict qui ne laisse aucune placo au doute sauf puut Stro dans les domainus où nous ignorons encore lo fonctionnement du mécanismo. Il nous suffit donc envisagor objectivonent tous les phénomèncs naturels du premier jusqu au durnior.
Ernst Ma. ch, un savant de la fin du sièclo dernier, fut le promiir contester séricusement cotto conception. Il défcndit idée que parler un détorminismo naturel a pas de sens puisque hommo ne pourra jamais lc pénétror. sa connaissance ne peut jamais être comploto. Selon lach le mondo matèriel réel ne peut être le point de départ du nos recherches car nous