Capitalism

nomènos étudiés devenait beaucoup plus grand qu autrefois et le torrent des découvertes élargissait. Le besoin sc fit sentir de principes plus généraux pouvant englobor avantage do phénomènes et détrôner les vieilles méthodes qui ne permettaient avancer que de cas particulier en cas particulicr. La loi de conservation de énergie on cst un exemple. elle fournit une vue générale de beaucoup de problèmes espèce différonte. De tels principos généraux, plus ou moins inportants, furent énoncés au XIXème siècle. Les résultats scientifiques, considérés sous anglo do leur rôlc comme moyen de production, forment pour ainsi dire la force motrice qui règlo ot propulse la rocherche scientifique. Ces principes pénétrèrent toutes les obsürvations scientifiques comme un for porté au rouge pén tro le bois. Elles purent so grouper en un vaste ensemble efforçant consciemment attoindre un but bien déteminé. Il on va ici comme de introduction du machinisme dans le processus de production normal. qui accéléra la processus de travail, élargit, et en rondit éxécution plus systématique. Ainsi les méthodes de la rochurche scientifique ont suivi lo même développement quo artisanat ct la manufacture qui se transfermèront en production industrielle. Mais simultanément les inconvénients devaient so fairu suntir.
La scioncc, appuyant sur maints principes nouveaux, pouvait, on effet travailler plus vite et plus régulièremont, ongendrer avec plus di sureté de nouvullos découvertos, Mais elle devenait du même coup plus mécanique. Les principes nouvcaux érigés on vérités absolues, furont étondus l homme lui même. ils étaient plus suulemünt des moyens de maîtrisor la nature, mais devinrent des forces imposant lour domination sur homme qui los créa. Le cause de ce phénomène est pas intrinsèquo au caractère des lois de la naturo mais est origine socialo, oxactomunt como la domination de la machino sur homme trouson origine dans le système capitaliste. Le chorchuuz utisant los principes généraux ni los considérait pas dans la plupart des cas comme un fil conducteur, un guide, mais commi une contrainte, ordonnéc, laquelle il fallait se soumettre pour que lo travail uffictué ne soit pas sans velour. Il fallut attundru la fin du XIXeme sièclo pour que la science osa so rebüller contre le caractèru absolu de cos principes généraux.
Nous röviordrons sur ce point dans un autro chapitro.
Au Xảemo sièclc, évolution de la tüchniquo industrielle a par contru coup poussé la sciunco sur de nouvollos voius.
Cotte évolution provenait de la crisu générale du Capitalismo qui se développait graduölloment de plus en plus profondémont.
La cause fondamentale de cetto crisö ost la bei sec générale du taux du profit, conséquenco inéluctablo du ruplacumunt du travail vivant. producteur do valcur, par le travail des machinos. Pour opposer cot abaissomont général, ou un limiter los uifuts, lo Capital pout utilisor divors moyens. Il put par cxcmple épandrü dene los pays moins développés où lo taux do profit ust plus élové (cotte expansion cst aillüurs uno dos causus des guerros modumus. Il peut utiliser uno autro vu