Democracy

REPERTORIO AMERICANO 19 Uno de los sucesos de La Mala Sombra admirablemente Nous semions alors des havertido al francés Pour acheter des boufs, il a ricots. Mon compagnon appeLe Mauvais Sort hypothéqué la maissonette. Les lait Proceso Vega. Nous étions bæufs lui ont permis de devenir voisis et amis. Comme ha Do Revue de atmérique Latine. Paris.
le bouvier du pays. Les temps bitude nous nous étions peu étaient mauvais et le travail parlé. Proceso avait déjà dit rare. Il y eut des jours où il quelques mots de la raison pour ne gagna même pas la nourrilaquelle il était marié avec ture des bêtes.
Juana et non une autre jeune Et ensuite vint sa maladie.
fille qu il avait connue plus Il dut se défaire des beufs jeune et aimée beaucoup. Supour payer le médecin. Et le bitement des voix venant de pire: le bégaiement qui lui la rue nous interrompirent: reste parfois. Proceso, le Cholo est là. Qu en pensez vous? Tous Nous nous détournâmes. éces malheurs me sont venus tait un oncle de Proceso qui depuis que le Cholo est arrivé parlait, un vieux pâle, avec la maison. est lui qui a de grandes moustaches grises apporté le mauvais sort, vous et un air triste.
savez, Joaquín, et personne Je me souviens que Vega Cuatro de los sucesos referidos en La Mala Sombra, ne le conjurera.
quitta son travail aussitôt et ilustrados por Ret. Sellawaff Ainsi parlait le pauvre Pro. je crois qu il partit sans rien (De la revista Crinol. Buenos Aires. ceso, moitié attendri, moitié me dire. Jo le vis peu après irrité.
se diriger vers la maisonnette la izquierda: El vicjito pordiosero.
En el centro: Tres viejos.
Et était vrai: le Cholo avait la derecha: La voluntad del Wor.
Abajo: Proscritos.
de Proceso avec des éclats de causé une mort là bas, au Guavoix surpris et joyeux.
temala, celle un compagnon avec le peu de lait qu elles donnent et de travail au chemin de fer, et, fuyant, Plus tard, Proceso revint. Il était content, qu il vend. Cela, son salaire quand il va il était venu se réfugier dans la maison de loquace, comme rarement je avais vu. en journée, et la maisonnette, est tout sa seur. Et tant qu il vivrait avec eux, le Je sus alors par lui que le Cholo était ce qu il possède.
malheur ne cesserait pas de les poursuivre.
un frère de Juana, son unique frère. Absent Je entends maintenant: il parle tue. Et vous verrez, Joaquin, la maisondepuis de longues années, ils le croyaient téte anx vaches voraces et par ses pa nette sera perdue aussi, car nous sommes mort. un tel point qu ils se souvenaient roles il trouble le crépuscule gris, nuageux maudits.
rarement de lui. Il venait du Guatemala, et triste.
Le Cholo avait essayé en vain de troutrès maigre, très pâle, très malade, très ver du travail et promis de en aller.
pauvre. Juana avait pleuré en le recon Maintenant nous nous sommes revus Mais comment le renvoyer?
naissant difficilement.
et nous travaillons ensemble. Une année Il continua me raconter des souvenirs est éconlée. Pour moi, presque tout est Les jours passaient implacables, de de son adolescence. Il me dit que, dans pareil. De nouveau nous semons des hamal en pire. Proceso résolut de en aller.
ce temps là, personne égalait lo Cholo ricots hiver. Alas Mesas, avec la femme et la fille, dipour les tapes sur la nuque. Maintenant, Proceso a passé des jours amers. Ses sait il. Là bas, il y a du lait, des haricots et du le Cholo avait pour Juana, Proceso et les vaches sont mortes ct aussi sa fille cadette.
travail. Que la maisonnette et le jardin res.
autres de siens la séduction de celui qui tent là. Qu on les saisisse pour ce que je dois.
a été longtemps absent du pays. Et le Cholo?
Joaquin García Monge Il reste aussi. Qu il arrange comme il Je suis assis au crépuscule dans le (Trad. Georges Pillement. pourra.
couloir de ma maison. Je pense Proceso, Mais, dans la vie, chacun suit son propre Garoint Monge est consacré avec une si parfaite mon ami et mon voisin. Et je entends, Abnéntion la glorio des autres, qn il est oublié et mystérieux destin. Proceso Vega alla comme tant de fois, préparer la påture lui même. Ceu qui suivent en Amériqne son wuvre pas las Mesas. Il ne partit pas, parce un de ses vaches, là bas, dans sa petite mai de noble propagando intellectuelle (Editions Ariel, jour, las de souffrir, il mourut.
son, au pied de la côte.
El Convivio ou el lepertorio Americano. ne suvent Etce que son devenusle Cholo, la maisonpas toujours que le charmant écrivain de Costa Proceso a trois vaches qui pâturent Rica est le conteur Attendri et rieur des scèncs nette, Juana, Baltasara, la fille, Dieu seul dans les petits chemins et aident vivre champêtres de son pays.
le sait.
el ciervo; él toca como con la carne fundación, de la doctrina del derecho y viva y cuanto palpa lo parece carne de toda aquella grandeza, lo pone el viva.
pueblo.
Şu método histórico y especialmente Generosa hasta no decir más la teo.
su sentido de los acontecimientos, el ria y falsa como mucho pensamiento credo de Michelet histo dor, asoman generoso. Los semidioses y los tita netos en esta Historia Romana. Plutar pasaron; los héroes van pasando, empuquiano y todo. el va a desmoronarles jados por la democracia a quienes esmedia falda a los héroes, para hacer su torba, y la «frase colectiva. privada de bir el llano; él va a volver la hazaña sustantivo y verbo, se afloja y se muere.
una especie de púrpura en la que corre En la primera parte de la gran guerra la sangre de la colectividad, y que se se da gusto a Michelet borroneando los hace visiblo en un individuo, ya sea por núcleos de la dirección, y el conjunto la maña de éste que se viste con ella es de una gelatina fea como la baba del para lucirla o por yerro de los histo mar; los ojos del pueblo buscan donde riadores que no han sabido juzgar y ad pararse hasta que los núcleos se hacen judicar. Los fundadores, los guerreros y visibles en Clemenceau o en och, y las los magistrados romanos, según Miche caras se alegran de recuperar tierra let, son únicamente las astas del toro sólida, latino, llenus de sol; el cuerpo de la Grandes sucesos sacuden el suelo de París, el de la misma casa de Michelet, y él apenas atiende a ellos, por más que sea un funcionario de las mismas Tullerias; sus patrones borbónicos salen echados y Luis Felipe entra en París. let vive ciego de trabajo, deslumbrado de materia histórica inmensa, embriagado de su labor como vivirá cincuenta años. No es el hijo de Adán para quien la labor se llama fatiga si no en la mañana en la tarde; también en esto parece que sea un pagano: el trabajo para él es una lonja solar de este mundo, lo que remueve la sangre, lo que mete las facultades en un bonito haz, lo que abrillanta los ojos «y hasta embellecem. El trabajo feliz que es el suyo en su mesa de escribir, mucho más que la pedagogía obligada de Santa Bárbara y de la Normal, no los Este documento es propiedad de la Biblioteca electronica Scriptorium de la Universidad Nacional, Costa Rica