BourgeoisieCapitalismMarxMarxism

IV. HOMME DE LA PERIODE DE TRANSITION se Derrière les lois naturelles de économie se trouvent en réalité les rapports humains. Ceux ci peuvent se modifier, les lois éternellos de économie peuvent disparaître.
Dans la société capitaliste existe ce que Marx appelle le fétichisme de la marchandise. La marchandise prene, our ainsi dire, une existence indépendante de homme. cf. par exemple lo langage de la bourse qui prête aux choses un comportement humain. les pétroles résistent, le cuivre développe, le charbon fléchit, etc. est seulement un rarrort social détermine des hommes entre eux qui revêt ici, pour eux, la forme fantastique un rapport de choses entre elles. arx, Capital, I, Pour modifier ce rapport de choses homme doit abord ss. morifier lui même et cette mortification ne peut se faire que par la praxis révolutionnaire. La théorie est la conscience de cette praxis.
Chaque époque a son style de vie, ses types de rapports humains particuliers, ses propres formes caractérielles. Il y a pas de lois éternelles de la. ature humaine. Mais il ne suffit pas de dénoncer le caractère fétichiste de la marchanrise, la causalité biologique étroite, le rôle néfaste de idéologie sociale, pour voir disparaître tous ces comportements. Ce est qu en certaines circonstances privilégiées que les hommes, saisis de peur, nominés par leur sentiment insécurité, peuvent changer leurs conceptions. appartenance de homme une organisation est déterminée par sa position sociale et par ses intérêts. Dans cette appartenance affirment les qualités moyennes, le style de vie dominant. Les organisations ont du succès lorsqu elles associent ce style de vie, y subordonnent leur Praxis, et exploitent. Un mouvement qui se fixe comrle but la coopération volontaire et auto détermination sociale doit nécessairement au style de vie, aux rapports sociaux, aux réactions tyriques de humanité. intelligence, la raison peuvent très bien rester insuffisantes dans cette lutte, action inconsciente du mode de vie subsiste. La tourbillonnante Praxis exige en plus un nouveau savoir, une nouvelle signification. homme de la période de transition doit développer des qualités antiqutoritaires puisque putorité est la base même des relations humaines dans lo ciltó de classes et absence autorité la base de la coopération. Avec le développement de la vie sociale et des formes de production socialistes devra coīncider apparition une unité de pensée et action, de morale et de conduite, correspondante.
Sang, sueur et larmes furent les outils nécessaires pour faire entrer homme dans la discipline de usine et du salariat. Cette entrée ne pouvait se faire sans un changement de idéologie. Cf Max Weber. Le capitalisme avait besoin une glorification de appât du pain. On peut dire que le marxisme devra jouer un rôle analogue dans la période de transition, mais il demeurera une différence essentielle en ce qu il veut développer la conscience.
Le bourgeois est homme isolé. Il est libéré des lois de entr aide pour pouvoir fixer ses propres buts. Pour lutter contre insécurité, il prône la force de intelligence. Le maniement systématique de la raison, utilisation un intellcct aiguisé deviennent des moyens prédominants typiques pour assurer sa sécurité dans la société. Ruhle. Kultur und Sittengeschichte. La prospérité individuelle, qui résulte du travail individuel, est expression du règne de la sécurité. Mais cette curité est qu illusion. Les masses y ont pas accès et les crises économiques, irruption de forces naturelles incoercibles, réduisent néant les efforts individuels. De nouveaux senti