BolshevismBourgeoisieCapitalismCominternCommunismCommunist PartyFifth ColumnRussian RevolutionSocialismWorkers MovementWorking Class

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Les bolcheviks allèrent de petites fautes des fautes toujours plus graves. Bien que le parti communiste allemand affilié la Troisième Initernationale grandisse régulièrement, particulièrement après son unification avec les socialistes indépendants, la classe prolétarienne, déjà sur la défensive, abandonna une position après autre aux forces de la réaction capitaliste. Dans sa concurrence avec lc parti social démocrate qui représentait des fractions de la classe moyenne et de aristocratic ouvrière dite syndicale, le Parti Communisto ne pouvait pas manquer de grandir mesure que se paupérisaient ces couches sociales dans la dépression permanente où se trouvait le capitalisme allemand lui même. Avec accroissement régulier du chômage, le mécontentement vis vis du statu quo et de ses défenseurs les plus dévoués, les sociaux démocrates allemands, il aconut aussi.
On ne rendit populaire que le côté hédoique de la Révolution Russe; le vrai caractère quotidien du régime bolchevique fut dissimulé la fois par ses amis et ses ennemis. Car, cette époque, le capitalisme Etat qui se développait en Russie était encore aussi étranger la bourgeoisie endoctrinée par idéologie du laissez faire que lui était étranger le socialisme proprement dit. Et la plupart des socialistes concevaient le socialisme comme une sorte de direction par Etat de industrie et des ressources naturelles, la révolution russe devint un mythe puissant et habilcmont entretenu accepté par les couches appauvries du proletariat allemand en compensation de lour misère crois sante, le même mythe fut étoffé par les réactionnaircs pour accroître la haine de leurs suiveurs contre les ouvriers allemands et toutes les tendances révolutionnaires en général.
Contre ce mythe, contre apparcil puissent de propagande de Internationale Communiste qui édifiait ce mythe, propagande accompagnée et soutenue par un assaut général du capital contre le travail dans le monde entier. contre tout cela la raison ne pouvait pas emporter. Tous les groupes radicaux la gauche du Parti Communiste allerent de la stagnation la désagrégation. Cele empêchait pas que ces groupes aient la ligne politique juste et le Parti Communiste une ligne fausse. car aucune question de stratégie révolutionnaire était impliquée en cela. Ce qui avait lieu, était que le capitalismo mondial traversait un processus de stabilisation et se débarrassait des éléments prolétariens perturbateurs qui, dans les conditions de crise de la gucrre et effons drement militaire, avaient essayé de glimposer politiquement.
La Russie qui, de toutes les nations, était celle qui avait le plus grand besoin de se stabiliser, fut le premier pays détruire son mouvement ouvrier au moyen de la dictature du parti bolchevik. Dans les conditions de impérialisme, la stabilisation intérieure est possible que par une politique extérieure de puissance. Le caractère de la politique extérieure de la Russie sous les bolcheviks fut déterminé après les particularités de la situation européenne après guerre. impérialisme moderne ne se contente plus de imposer simplement au moyen une pression militaire et une action militaire effective.
La cinquième colonne est arme reconnue de toutes les nations. Cependant, la vertu impérialiste aujourd hui était encore une nécessité absolue pour les bolcheviks qui essayaient de tenir bon dans un monde de luttes impérialistes. 11 y avait rien de contradictoire dans la politique bolchevique qui consistait enlever tout le pouvoir aux ouvriers russes et essayer en même temps de construire de fortes organisations ouvrières dans les autres pays. Précisément, est dans la mesure où ces organisations devaient être souples afin de se plier aux besoins politiques changeants de la Russie que lour direction par en haut devait être rigide.